Bachar al-Assad est visé par un mandat d’arrêt émis le 14 novembre par la justice française, a annoncé franceinfo mercredi, qui cite des sources judiciaires.
Le président syrien est accusé de complicité de crimes contre l’humanité pour les attaques chimiques perpétrées à l’été 2013 en Syrie. C’est ce que les plaignants ont annoncé ce mercredi 15 novembre.
En effet une source judiciaire a confirmé l’émission de quatre mandats d’arrêt pour complicité de crimes contre l’humanité et pour complicité de crimes de guerres pour ces attaques au gaz sarin, qui avaient fait plus de 1000 morts le 21 août 2013 dans la Ghouta orientation selon les renseignements américains.
Ces mandats visent également le frère de Bachar al-Assad, Maher, chef de la Quatrième division, unité d’élite de l’armée syrienne ainsi que deux généraux, Ghassan Abbas directeur de la branche 450 du CRS et Bassam Al-Hassane officier de la liaison et chef de la sécurité .
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